Cette étude permet d’aborder la manière de penser et d’intégrer la renaturation dans les nouvelles trajectoires que nous devons construire pour nos territoires. Elle propose une palette de pistes de réflexions pour adapter, en nuances, notre stratégie écologique territoriale, à la réalité de nos territoires.

Les pratiques de mobilité des Français varient selon les territoires. Selon l’enquête mobilité des personnes 2019, les ménages des communes rurales (33 % de la population) réalisent des déplacements relativement longs en mobilité locale, très fréquemment en voiture : plus de la moitié des distances parcourues concernent des trajets de 10 à 100 km. Les habitants des communes les plus densément peuplées (38 % de la population) se déplacent moins au quotidien mais partent en voyage plus souvent et plus loin, majoritairement en avion : près de 30 % de leurs distances parcourues concernent des déplacements de 1 000 km ou plus.
Du fait de l’importance de leurs mobilités locales, les ménages des communes rurales concentrent plus de 40 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) des déplacements.

A la veille de la rentrée des classes, un rapport d’Oxfam France sur l’adaptation au changement climatique montre que 1,3 millions d’enfants en maternelle – dans 7138 écoles – seront exposés à des chaleurs excédant 35° dans les classes d’ici 2030, soit dans 5 ans et demi. Ces conditions ont un impact direct sur les possibilités d’apprentissage des enfants et l’égalité des chances.

La ville normande, confrontée à la dégradation de l’état de ses routes comme de nombreuses collectivités en France, s’appuie désormais sur une solution intégrant de l’IA pour faciliter leur entretien.

Jusqu'à 29°C : voici la température enregistrée à la surface de l'eau à Nice, mardi 6 août. Ce chiffre est monté jusqu'à 30°C dimanche, entre 16h30 et 17 heures, selon les données enregistrées par une des bouées côtières du Cerema au large de Monaco.

La Méditerranée est très chaude. La Ville de Montpellier et la Métropole incitent les habitants à se préparer à d'éventuels épisodes climatiques violents.

Mais face à des phénomènes météo extrêmes de plus fréquents et plus intenses, "les axes de circulation vont être soumis à des phénomènes nouveaux ou dans des ampleurs qui n'existaient pas auparavant", avertit David Zambon, directeur général adjoint du Cerema. Inondations à répétition, sécheresses plus nombreuses, fortes chaleurs ou montée des eaux… Tous ces événements ont un impact important sur nos routes et nos modes de déplacement. Explications.