Dans une ville perméable, les dispositifs de stockage, d’infiltration à la parcelle et d’évapotranspiration permettent à l’eau d’entrer dans le sol là où elle tombe et donc de réduire le ruissellement et les déversements d’eaux usées dans les cours d’eau, réduisant drastiquement du même fait la pollution des milieux naturels. La désimperméabilisation constituerait même la seule politique efficace pour limiter la pollution des milieux naturels par les eaux de pluie. Un projet de recherche mené dans le cadre d’un partenariat entre l’École nationale des Ponts et Chaussées, le Cerema et l’Université de Bordeaux démontre que les parkings perméables végétalisés permettent une maîtrise des eaux de ruissellement et de la pollution associée.

Le prix étant dépendant de la taille du bâtiment, du périmètre d’intervention ou même des tarifs du prestataire choisi, il demeure par essence variable. Toutefois, le Cerema précise qu'il peut aller au-delà de 120 000 euros dans certains cas, ce qui représente un certain investissement.

Dans le cadre de sa politique cyclable, Bordeaux Métropole poursuit la sécurisation des carrefours giratoires, avec pour objectif d'améliorer la sécurité et la fluidité des déplacements cyclables. Deux types d'aménagements ont ainsi été expérimentés et sont en cours d'évaluation, accompagné par le Cerema.

Selon une enquête menée par la fondation Apprentis d’Auteuil, 3 jeunes sur 4 ont déjà renoncé à une opportunité professionnelle ou de formation à cause de problèmes de mobilité. Une situation exacerbée en zone rurale. Mais des solutions se développent notamment en Occitanie.

Associées, nos deux intercommunalités, qui regroupent une vingtaine de communes et 141 kilomètres de côtes, élaborent ainsi une stratégie locale de gestion intégrée du trait de côte (SLGITC), à horizon 2050 et 2120, à la suite d’un appel à projet lancé par le Cerema et l’Association nationale des élus des littoraux. Cette stratégie part d’un diagnostic des enjeux, de l’habitat aux routes et réseaux, en passant par le tourisme et la biodiversité. Se pose alors la question des orientations stratégiques : que protège-t-on ? Jusqu’où ? Et en avons-nous la capacité ?

Une expérimentation a permis de valider l’utilisation de la fibre optique pour surveiller les mouvements sismiques en zone urbaine à Annecy. Explications.

Face aux défis du réchauffement climatique, la résilience de l’économie de montagne est primordiale. Le GECT Pirineos-Pyrénées, avec le soutien du Cerema et de l’Audap, s’emploie à réduire les risques pour les populations et infrastructures en développant des outils adaptés.