La RATP a trouvé à cette eau de ruissellement quelques utilisations, comme le lavage des rames de la ligne 8, l’arrosage des pelouses du Tram T3b, le nettoyage de la voirie… Et elle prévoit d’ici la fin de l’année de l’utiliser pour les chasses d’eau de son siège situé quai de la Rapée, dans le XIIe arrondissement, et aimerait aller plus loin. Mais pour cela, il lui faudrait savoir si cette eau, qui n’est pas considérée comme sale, est potable. C’est pour le définir que la Régie a mis en place un groupe de travail avec, notamment, l’Agence régionale de santé , le Cerema, la Société du Grand Paris et Eau de Paris.