Lancé le 1er janvier 2024 dans le cadre du plan France ruralités, Villages d'avenir est une réussite pour sa première année avec un total de 2 888 communes accompagnées par 120 chefs de projet, dont 400 nouvelles lauréates en 2025.

La France est en avance technologique face à l’évolution du climat et la prise en compte du carbone dans la construction, soulignée par les avancées européennes de BBCA comme la Low Carbone Initiative, internationalement remarquée. Quand au Cerema, mis en avant dans le cadre de la conférence de presse du 3 avril, le mot d’ordre est l’adaptation au changement climatique et ce nouveau marché de l’adaptation, qui offre "toutes les solutions", incite à l’optimisme.

Des chercheurs en acoustique ont comparé différentes options pour atténuer les nuisances sonores causées par le bruit routier. En fonction des situations, il peut être plus intéressant d’opter pour un moteur électrique plus silencieux, de changer le revêtement des routes ou d’optimiser la vitesse du trafic routier. Mais dans la plupart des cas, la solution optimale est plurielle.

Le programme d’accélération de la Réutilisation des Eaux Usées Traitées (REUT) en zones littorales, initié en 2024, accueille 21 nouvelles collectivités. Cette initiative, portée par le Cerema et l’ANEL, avec le soutien des Agences de l’Eau, de l’Office Français de la Biodiversité et de la Banque des Territoires, vise à optimiser la gestion de la ressource en eau dans les territoires côtiers.

Ce travail a fait l’objet dans sa rédaction d’un partage auprès d’un partenariat élargi associant notamment les membres du GIP Littoral (collectivités et services de l’Etat), ainsi que les maitres d’œuvres et entreprises mobilisés sur des projets d’aménagement en secteur littoral. Elle s’appuie également sur des productions réalisées par de nombreuses structures sur le sujet, et notamment le Guide publié par le Cerema sur les revêtements des espaces publics en 2018.

A l'hiver 2023-2024, le Nord et le Pas-de-Calais ont été frappés par des inondations d'une violence exceptionnelle, après des semaines de pluies torrentielles. A deux reprises, c'est toute une région qui a ainsi été engloutie, provoquant un émoi national. Au total, plus de six mille habitations ont été dévastées et près de mille personnes ont dû être relogées. Des réfugiés climatiques d'un nouveau genre en France. Du jamais vu, qui est en partie la conséquence d'une topographie très particulière, peu connue du grand public. Le triangle entre Saint-Omer, Calais et Dunkerque est en effet un polder, comme on en trouve aux Pays-Bas. Habitants et maraîchers sinistrés s'interrogent : comment imaginer le futur quand sa maison, son champ, sont constamment menacés par les eaux ?

Jusqu’à présent, l'offre de service du GD4H était portée par le laboratoire Ecolab du Commissariat général au développement durable. Cette organisation était prévue pour durer le temps du PNSE4 et de l’incubation du projet. Le transfert de la mission de coordination à l’Anses a été officialisé le 2 avril 2025. L’Agence était impliquée dans le projet depuis son lancement, en tant que partenaire. La gouvernance du GD4H continuera d’être partagée entre ses membres, à savoir les ministères chargés de la transition écologique, de la santé et de la recherche, l’Anses, l’Ademe, le Cerema, l’EHESP, la plateforme des données de santé Health Data Hub, l’Ineris, l’Inserm, l’OFB et Santé publique France. Le projet pourra accueillir de nouveaux partenaires pour contribuer à son objectif.